Sunday, July 20, 2008

Georges Brassens in the park

In her photo series about a public park, my sister Isabel recalled of one of those beautifully wry, timeless Brassens songs:

Quand les mois auront passé
Quand seront apaisés
Leurs beaux rêves flambants
Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds
Ils s'apercevront émus
Qu' c'est au hasard des rues
Sur un d'ces fameux bancs
(Via aguarelas de Turner.)

1 comment:

Drago said...

The very best of Brassens, of course, remain:

Le gorille
http://www.paroles.net/chanson/15439.1

L'auvergnat
http://www.paroles.net/chanson/12642.1

:)